Aujourd'hui, si je leur propose de les conduire, aucun de mes enfants n'hésite : la voiture plutôt que d'attendre à l'arrêt 15, 20, 30 minutes... Pour les contacts, il y a les gsm et facebook... et la voiture devient moyen de liberté. Voilà peut-être pourquoi, en partie, la ville est congestionnée et les bus en retard.
11/03/2010
Le bonheur est dans le bus ? Moments de liberté un peu perdus
Quand j'étais en humanités, le bus 36, c'était des moments de fous rires, des rencontres. Les écoles libres n'étaient pas mixtes et l'on attendait impatiemment de retrouver dans le bus ou le tram, les copains des autres écoles. C'était un moment de liberté. L'on se réjouissait de prendre le bus, à tel point que lorsque nos parents nous proposaient de nous conduire, on préférait prendre le 36.
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1 commentaire:
moi aussi les humanités c'était le temps du 36... il y a une trentaine d'années... des rencontres entre Schuman Chant d'Oiseau Joli-Bois...
des retards aussi et des fréquences et des horaires pas des plus confort...
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