10/03/2010

Longueur de la ligne et coordination

Intervenir auprès de la STIB : voilà une excellente idée de la part de la commune car en effet, que de problèmes rencontrés ! Une chose cependant, la longueur de la ligne peut expliquer la difficulté à respecter les horaires, qui , aux dires de la STIB elle-même , n'est qu'indicatif . Cependant, nous voyons régulièrement deux bus passer en se suivant, soit le premier est très en retard, soit le second est à l'avance, un des deux devrait de toute façon attendre éventuellement le temps nécessaire à remettre les " pendules - et les bus - à l'heure ".

Un des plus importants problèmes se situe au niveau du "triangle" av de Tervueren. Mon épouse, professeur à Boitsfort, a utilisé la ligne 36 et 42 , ainsi que de nombreux élèves de son école , pendant plus de trente ans . Trente ans de galère au triangle. Aucune coordination entre ces deux bus : à croire que le 36 , voyant le 42 arriver, n'a rien de plus urgent que de démarrer , et pareil pour le 42 jonction 36. Sans parler de la même situation avec le 39 et le 44. Si vous pouvez améliorer la chose, quel bonheur. Nous vous souhaitons bon courage.

Suzanne et Jean-Marie C.

1 commentaire:

VDK photos a dit…

Bonjour,

Loin de moi l'idée de prendre aveuglément le parti de la STIB, mais je pense qu'une certaine objectivité serait de bon aloi.

Etablir des points de correspondance relève de la gageure à Bruxelles. Trop de facteurs entrent en ligne de compte pour pouvoir les garantir : intempéries, embouteillages, embarquement ralenti pour diverses raisons... Il suffit parfois d'une voiture mal garée pour bloquer un bus pendant plusieurs minutes.

Suzanne et Jean-Marie C. prennent pour exemple le triangle de Woluwé, mais dans cette optique le même genre de correspondance devrait s'appliquer à d'autres points de la ligne (Roodebeek et Hermann Debroux pour le 42 / Stockel, Boileau, Thieffry et Chasse pour le 36). Vous reconnaîtrez qu'il y a de quoi s'arracher les cheveux pour les concepteurs des horaires, surtout si l'on considère cela à l'échelle de l'agglomération bruxelloise.

La solution passe évidemment par une meilleure fréquence, mais cela suppose plus de véhicules, plus de chauffeurs, et corollairement plus d'argent pour les transports publics.

Amicalement, Jean